Qui sommes-nous
naturalhy est une société de conseil financier et stratégique dans le secteur de l’hydrogène naturel.
Nous accompagnons les acteurs de cette industrie naissante dans leurs opérations capitalistiques (levées de fonds) et leur structuration financière.
naturalhy est membre de earth2, le pôle de compétitivité qui rassemble les experts de la filière de l’hydrogène naturel en France et en Europe.
Notre philosophie tient en trois mots : le terrain, le terrain, le terrain.
Nous ne croyons qu’à la vérité du terrain, convaincus que ce sont les initiatives venues de la base qui permettent l’éclosion d’une industrie. Notre approche est strictement « bottom up » : nous nous positionnons donc au cœur de l’écosystème de l’hydrogène naturel en allant à la rencontre de celles et ceux qui structurent la filière.
Nous sommes en première ligne, aux côtés des pionniers de l’hydrogène naturel, ces acteurs agiles et dynamiques qui œuvrent chaque jour à rendre possible cette véritable révolution énergétique.
Christophe HECKER est un autodidacte revendiqué. Il démarre son parcours d’entrepreneur à 22 ans, dans le secteur financier, domaine dans lequel il évoluera pendant plus de 15 ans. Il prend ensuite la Direction de la Communication et du Développement du cabinet de fusion-acquistion CAIRUS pour accompagner son déploiement sur toute la France.
En marge de ses activités, Christophe se passionne pour l’énergie dès 2014 et publie le livre « Gaz et pétrole de schiste : révolution planétaire et déni français » dans lequel il anticipe le bouleversement mondial induit par l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels aux Etats-Unis, faisant notamment de ce pays le premier producteur de pétrole au monde et un exportateur de gaz de premier plan. Le livre remportera en 2015 le prix spécial du jury du Prix « Turgot-Les Echos » qui récompense chaque année le meilleur essai économique.
Fasciné par la dimension stratégique du secteur de l’énergie sur les plans économique, géopolitique et environnemental, Christophe est convaincu, dès les prémices de l’hydrogène naturel, que cette ressource constituera la prochaine révolution énergétique et qu’elle sera la clé de voûte d’une transition énergétique devenue indispensable.
HYDROGÈNE naturel
Je crois que l’eau sera un jour employée comme combustible, que l’hydrogène et l’oxygène qui la constituent, utilisés seuls ou ensemble, fourniront une source inépuisable de chaleur et de lumière, d’une intensité dont le charbon n’est pas capable.”
Qu'est ce que l'hydrogène ?
Un gaz inodore
et incolore
L'élément chimique le plus léger de l’Univers, présent en abondance
Une densité énergétique (en masse) plus importante que les énergies fossiles
Un carburant utilisé pour les fusées en raison de son puissant pouvoir énergétique
Dans le cadre de la transition énergétique et l’objectif de la neutralité carbone en 2050, l’hydrogène est identifié comme une énergie stratégique pour se substituer en partie aux énergies fossiles.
83 pays dans le monde ont ainsi adopté des plans nationaux pour ’hydrogène. Cela représente 91% de la population mondiale, 98% du PIB mondial, 94% des émissions de CO2.
Une production encore imparfaite
À l’heure actuelle, l’hydrogène consommé dans le monde est un produit « fabriqué », issu de procédés industriels qui sont fortement émetteurs de CO2 (hydrogène gris et bleu) ou très coûteux (hydrogène vert).
La production d’hydrogène a donc un coût :
tant économique qu’environnemental.
1,75€/kg
3€/kg
L'hydrogène naturel
change la donne
Jusque très récemment, l’hydrogène devait être produit (gris, bleu vert), il n’était pas envisageable de le trouver à l’état naturel.
Cette certitude est battue en brèche par la découverte récente, dans différents endroits du monde, d’hydrogène sous sa forme moléculaire. Au même titre que notre sous-sol contient des énergies fossiles comme le charbon, le gaz et le pétrole, il est désormais acquis qu’il contient aussi de l’hydrogène à l’état naturel et potentiellement dans des quantités substantielles.
L’hydrogène naturel est donc non seulement novateur mais aussi propre et économiquement viable avec un coût 8 fois moins élevé que pour l’hydrogène vert.
Par radyolyse de l’eau
En émettant des rayonnements, certains éléments radioactifs naturellement présents dans la croûte terrestre – comme l’uranuim ou le thorium – provoqueraient une radiolyse de l’eau (H2O), qui se séparerait alors en dihydrogène (H2) et oxygène (O2).
Par craquage
Dans des conditions de températures et de pression particulières, les longues molécules de matière organique pourraint se décomposer pour engendrer notamment des molécules de dihydrogène.
Par serpentisation
Contenu dans certains minéraux – comme l’olivine, le pyroxène… – du manteau terrestre, le fer ferreux (Fe2+) pourrait s’oxyder au contact de l’eau de pluie ou de mer. Cette réaction produirait, entre autres, du fer ferrique (Fe3+) et du dihydrogène (H2).
Par diffusion
De l’hydrogène «primordial» pourrait être stocké dans le noyau de la Terre depuis sa formation, sous une forme stable appelée «hydrure», liée à d’autre éléments ! Il dégazerait lentement pour remonter à la surface.
Une quête mondiale
- – Etats-Unis,
- – Australie,
- – France
- – Espagne.
- – Amérique du Sud,
- – Ouest Africain,
- – Afrique australe.
La découverte de l’hydrogène naturel comme nouvelle source d’énergie a déclenché des campagnes d’exploration dans divers endroits du monde.
Ces projets sont portés par des sociétés innovantes et pionnières désireuses de jouer un rôle majeur dans la transition énergétique.
Les barrières à l’entrée pour devenir un acteur de cette industrie sont considérables. Elles requiert une expertise et des moyens semblables à l’industrie du pétrole et du gaz.